« Ta yeule! Ce serait vraiment très gentil. »
Publié le 17 mai 2012 par Julien Acosta
extrait des commentaires
- Envoyé par Alex | 17 mai 2012 |La seule raison pourquoi les jeunes utilisent les médias sociaux pour partager l’information c’est parceque vous les médias de masse avez presque totalement perdu tout integrité journalistique.. Certains ne l’ont pas perdu, certain se battent contre leur employeur mais a date j’ai vu aucun journaliste dans la presse parler contre Paul Desmarais, ou dans le journal de montreal contre Peladeau et pourtant ces 2 la sont extrement impliqué dans plusieurs hypothese tres plausible de corruption et de controle de medias vers la droite…. Ce controle n’est pas un controle direct mais bien qu’ils embauchent des journalistes de droites qui ont beaucoup d’opinion et qui ne font pas de recherche poussé sur l’impact de ce qu’ils écrivent, surtout si c’est sur la converture d’une crise aussi importante comme celle-ci.. Je trouve que vous etes vraiment gentil avec vos compatriotes, meme si vous les dénoncer une petit peu et c’est ca, un manque d’integrité journalistique.. parceque vous voulez respecté vos collegues… aucun journaliste ose dénoncer haut et fort le manque constant et globale d’integrité journalistique de 80/100 des journalistes dans les médias de masse (tv ou journal).. Il faut comprendre que Power Corp et Quebecor sont tres tres influants sur le peuple québecois et qu’il sont TOTALEMENT de droite puisque la gauche offrent au peuple le pouvoir ce qui va totalement a l’encontre de ces riches qui utilisent le PLQ comme outil a leur avancement dans le controle GLOBALE du quebec…Merci d’avoir publier l’article mais POURQUOI attendre avant l’examen de conscience??? Ca fait combien de temps vous attendez??
- Envoyé par richard couture | 17 mai 2012 |je pourrais écrire 10 p . sur le sujet. Je me contenterai de vous dire que le lien de confiance n’est pas brisée seulement avec les jeunes mais avec beaucoup de lecteurs, d’auditeurs etc… Moi, le premier qui suis à la retraite de l’enseignement. Je lis et écoute tout , mais avec un oeil et une oreille suspicieuse. L’objectivité n’existe plus. Le moindre petit reporter se permet de donner son opinion au lieu de se limiter à décrire les faits. La convergence des journaux ( La presse et québecor ) fait en sorte qu’on lit l’opinion des journalistes avec doute.On connait à l’avance de quel coté ils vont aller. Seul le Devoir est un journal indépendant. Que dire des prises deposition de Pierre Bruneau, Larocque, Durivage qui devraient se limiter à choisir les nouvelles sans les commenter et de Durivage qui joue à l’animateur du club des ex en donnant toujours son point de vue. Bref apercu de ce que je pense. Donc, je deviens un adepte de tweeter…y en a pour tous les goûts, de Facebook et des blogues que je choisis pour ne pas être toujours enragé à cause de la subjectivité des journalistes. Et plusieurs jeunes sont d’une incompétence inouie..
- Envoyé par Nancy | 17 mai 2012 |Je ne suis plus ‘jeune’ – j’ai 35 ans. Je vous donne quand même mes impressions de cet évènement de « publication hâtive » puisque je passe tout de même une bonne portion de ma vie à m’informer sur Tweeter et Facebook (je ne possède pas de télévision). Quand j’ai vu sur le site de Canoë (grâce à un tweet) un article révélant le nom de la rue des « suspects » et le numéro de la rue dans la photo de la porte par où les policier entraient, je n’étais pas surprise. Pour moi, Québécor = sensationnalisme. J’ai tout de même « tweeté » Canoë pour leur dire que j’étais choquée. N’avez vous pas d’éthique journalistique? On donnait carrément l’adresse de suspects qui, à ce que je sache, demeurent innocents jusqu’à preuve du contraire, sans compter que dans un tel climat, surtout alors qu’un de nos propres journalistes crie au scandale quand une journaliste de la Presse révèle *son* adresse (« une rue à Outremont »), c’était carrément mettre la vie de ces suspects en péril. Quelle a été ma surprise de recevoir, en moins de 5 minutes, ce tweet de Canoë: « nous avons modifié l’image, merci de nous l’avoir signalée ». Wow. Mais quelle a été ma plus grande surprise de voir la même image avec le même texte (nom de rue, noms des suspects) dans *mon* journal quotidien quelques instants plus tard: La Presse. Si je me souviens bien, le texte provenait de l’Associated Press – il était identique à celui de Canoë. De la part de La Presse, par contre, je n’ai jamais eu de réponse. À cause de cela, je n’achète plus ce journal. Imaginez vous, cliente depuis 10 ans. Une photo m’a suffit pour confirmer une thèse que je refusais de croire et qui circule allégrement dans les médias sociaux : la famille Desmarais contrôle l’information.Je peux tout de même faire la part des choses : il y a d’excellents journalistes à La Presse, comme il y en a au Journal de Montréal. Mais maintenant, je « consommerai » mes médias avec modération – c’est à dire que je ne fais plus confiance en aucun média en particulier. À lire votre texte par contre, je suis prête à concéder qu’il s’agissait d’une erreur. Une monumentale erreur. Ça peut quand même se pardonner. Je continuerai peut-être d’acheter La Presse.Pour ce qui est des jeunes qui empêchent les journalistes de faire leur travail, je veux leur dire (et l’ai tweeté suite à la demande du FPJQ de condamner la violence envers les journalistes): gardez l’esprit ouvert. C’est grâce aux médias (en particulier La Presse et Radio-Canada) que nous avons su ce qui tramait dans le domaine de la construction. Si La Presse était vendue à Charest, pourquoi publierait-on du journalisme d’enquête liant carrément la mafia au PLQ?Maintenant, aux médias: la liberté de la presse vient avec une responsabilité : s’assurer de ne pas mettre en danger les citoyens. On le sait, tout le monde est fâché avec les incidents du métro, mais ces publications d’adresses et noms ont vraiment senti la vengeance, si ce n’est quelque chose de plus stratégique. Nous somme bel et bien dans l’ère de l’information, ou de la désinformation, c’est selon. Vous voulez gardez votre lectorat? Assurez vous d’être plus rigoureux que jamais. Tweeter vous guette.